« Encore un festival de danse, diriez-vous ? Détrompez-vous ! Car le festival concordan(s)e n’a rien de banal : en effet, il permet une sorte de recherche sur le comment du pourquoi du désir de créer. Les spectacles proposés sont donc uniques en leur genre, et poussent chacun des artistes à réfléchir sur la définition du mot création »
« Un voyage tout à fait singulier. (…) Ecrivains et chorégraphes partagent l’affiche dans la complicité d’un regard. (…) »
« La troisième édition du festival concordan(s)e est plus que jamais tendance. (…) Le rendez-vous vaut le détour ! (…) Les écrivains grimpent sur scène et se risquent à danser. En couple avec un chorégraphe, ils endossent allègrement une double mission : écrire et dire sur un thème chorégraphique. Visiblement, ils adorent cela, les chorégraphes aussi. (…) »
« Au festival concordan(s)e, six écrivains s’acoquinent avec six chorégraphes. Que la danse devienne bavarde à force de flirter avec le texte, c’est maintenant une banalité. Qu’elle embarque désormais les écrivains sur le plateau, c’est plus nouveau. (…) « A l’origine, il s’agissait d’accompagner les danseurs dans l’élaboration d’une pièce , explique Jean François Munnnier, directeur artistique. Un écrivain peut les aider à verbaliser, analyser leurs gestes ». Le décloisonnement des pratiques est passé par là.. (…) Les deux comparses se retrouvent en studio pour définir une attaque commune du plateau : texte et spectacle sont imaginés ensemble. « L’écriture gagne en liberté car la danse permet à chacun de raconter ses histoires, commente l’écrivain Arnaud Cathrine, en duo avec Philippe Combes. En revanche, faire quelque chose de son corps, le sortir de sa position d’écrivain, est une autre affaire, et c’est ça qui me passionne. » La question du corps et de la présence, centrale dans le spectacle vivant comme dans les arts plastiques, est le premier enjeu évoqué par les écrivains. (…) La relation avec le public fait aussi la singularité de l’entreprise. Pendant que l’écrivain évoque son lecteur les yeux dans le vague, il l’affronte face à face sur scène. « On le voit, on est en prise directe avec lui et on un retour immédiat sur ce que l’on a écrit, s’enthousiasme Olivia Rosenthal qui travaille avec Carlotta Sagna (…) »
« A la croisée des arts. Evènement singulier où écrivains et chorégraphes se font complices. Six binômes sur une quinzaine de jours pour mettre en regard danse et littérature, deux expressions différentes aux sensibilités souvent proches. (…) »
« … Un festival de rencontres entre un chorégraphe et un auteur d’où naissent des formes diverses et variées, aussi hybrides les unes que les autres. Un regard singulier et étonnant. Un festival plein d’audaces ! »
« … Une idée très originale et très audacieuse. (…).